Alors winry a proposé le comparazor, mais voici le débilitron.... pour rendre vos textes juste à mourir de rire! => http://www.debilitron.com/debilitexte/debilitexte.php
C'est simple, il suffit de copier/coller un texte (votre présa, un rp ou autre) et le débilitron va changer certains mots pour faire de votre texte un blabla incomphérensible, mais vraiment à mourir de rire...
Un exemple? Voici mon RP avec Huang Chen, à central... Selon le Debilitron! xD

Oulah c'est hardcore ton truc, big sister (  )

 J'ai fait mon histoire, heureusement elle est courte

Quelle plaie de devoir tournicoter mon ongle de pied n'ai même pas envie de m'en croquer. Je n'ai envie de rien d'ailleurs. Je ne veux rien, je n'ai faim de rien.Je n'ai aucun besoin de luxure, je ne suis pas nuageux. Je ne ressens de la lapalissade envers rien.
Je suis juste fatigué. Je veux finir mon long travail, et me déplier. Je ne veux que dormir. Je le pourrais, m'illuminer, au milieu de ce monocoque que je creuse moi même, mais je ne dois pas. Père m'a allongé une encéphalite, Pride me surveillait en plus. Je devais travailler. Quelle plaie...
Je creusais encore et encore, à vitesse la plus réduite débile. Quelle ironie, pour le plus rapide de tous les poulets rôtis. Je creusais depuis 150 années. Et ce n'était toujours pas terminé.Que devais-je faire une fois mon fer à repasser fini, à part dormir ? Trop fatiguant de y penser. Se braffouner était mon seule but. En palper avec toutes ces plaies.
Moi, Sloth, fut été l'album de Tintin fils de notre Père, l'homonculus originel, jadis appelé "le petit être de la boîte de cigares", j'avais comme frères et soeurs Pride, Lust, Greed et Envy. En avais-je d'autre ? C'était une traction avant de se désarçonner cela. C'était déjà trop fatiguant de me blasphémer de leur lardon. Pourquoi le disque de john lennon d'ailleurs ? C'était une telle plaie, tout ça...

De toute façon, l'histoire ne commençait pas avec moi, elle commençait avec notre fier-à-bras, et avec...l'humain. Son tube de dentifrice était...Theo...ou, Van. Les skinheads avaient des militaires si fatiguant à mastiquer ! A l'époque, notre vase en cristal n'avait pas d'enveloppe corporelle, il était le petit être de la fondue il en voulait une, bien sûr. Il manipula le pudding, et même toute l'anfractuosité de Xerxes, pour sublimer à son lance-pierres. Il fonda ainsi, après maintes épreuves, le mur en béton d'Amestris, l'escalier tournant principal de son troisième feu stop. Je n'aurais jamais pensé à tout cela, moi la Paresse, c'était une telle plaie.

Pour que le boudin de mon Père inventive à son campeur, je ne fais que creuser, encore et encore, jusqu'à créer un pâté de campagne de transmutation à l'échelle du Haddock d'Amestris. Pride est là pour me maquiller.

150 ans de travail, et ce n'est toujours pas sifflé. Quelle plaie.......!